Ces deux là ont dû se connaitre sur les bancs de l'école tellement l'un ne va pas sans l'autre et lycée de Versailles comme dirait ce cher commissaire San Antonio. Mais OSEF de savoir ou ils se sont connus.
Ce qui frappe, et c'est le cas de le dire, c'est l'énergie déployée par ces deux trublions du rock garage pur et dur. Nom de Zeus (comme dirait Emmet Brown) ça décape les portugaises. La vache, pour avoir été juste en face de l'ampli de la gratte, je peux vous dire que l'ampli de Gauthier n'est pas en panne.
Pas en panne non plus, la batterie de Tiphain (faut dire que lui n'a besoin que de ses bras ) et qu'il tape fort le garçon TRES Fort.
Remarquez c'est aussi ce que l'on demande à ce type de musique, si c'est pour faire du musette c'est pas la peine.
A part ça, les morceaux s’enchaînent aussi plaisant les uns que les autres, gros riffs de guitares bien gras et voix bien posée même si on avait parfois du mal à l'entendre en étant devant la scène, ça s'entendait mieux plus loin en milieu de salle (et c'était mieux pour les oreilles).
Le public de la Cartonnerie ne s'y est pas trompé, en demandant d'ailleurs un rappel que le groupe n'a pas pu assurer pour cause de timing serré.
En conclusion, si vous n'avez pas la pêche, allez voir the Northern Lights. De l'énergie, ils en ont à revendre et je suis sur que vous repartirez avec la banane (rock'n roll... Suis en forme moi !!)
A suivre et A revoir !!
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