« NICOLAS JULES OU L’ART PRÉCIS DE LA NONCHALANCE » voilà un titre
que j'aurais aimé trouver pour cette chronique, tant cette phrase
est juste et résume bien l'impression que donne cet artiste
complètement hors des codes habituels.
Rendons
à césar, ce titre provient d'un joli article facebook de Patruche Mercier qui, tout comme moi, a eu la chance d'assister à la
prestation de Nicolas Jules au Théâtre Thénardier.
Oubliez
ça, Nicolas Jules c'est tout le contraire, maniant l'humour, la
dérision, il nous emmène dans un univers drôle, onirique et
souvent mélancolique.
Il
est accompagné de deux compères Roland bourbon à la batterie et
Frédéric Jouhannet aux violons. En trio ils assurent la partie
musicale du concert de la plus belle des manières, en faisant bien
plus qu’accompagner les textes.
Bref,
ce jeudi soir, à Montreuil nous avons vécu une jolie parenthèse,
parenthèse unique tant la relation avec le public fait partie de ce
spectacle, un moment unique et incopiable, d'ailleurs « morts
aux photocopieuses ».
Jean Philippe TROTIER.
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