Tout est perdu sauf le bonheur
Mis en piste par Philippe CAR assisté de Valérie BOURNET-CAR
Compagnie Cartoun Sardines, Théâtre
Avec les 11 étudiants de la 18ème promotion
Sébastien ARMENGOL, bascule - accordéon, batterie, guitare, scie musicale
Moïse BERNIER, mât chinois - violon, batterie
Benoît CHARPE, monocycle sur trampoline - rabot manuel
Nolwen GEHLKER, voltige équestre - harpe
Netty RADVANYI, voltige équestre - trompette
Lucien REYNES, bascule, plateau ballant - batterie
Jonas SERADIN, bascule, acrobaties - flûte et chant
Laure SINIC, trapèze ballant - flûte traversière
Lucho SMIT, bascule - contrebasse
Yukihiro SUZUKI, jonglerie - flûte, clarinette
Sébastien WOJDAN, jonglerie - guitare, piano, trompette
Artaud et Oman, chevaux de cirque
Vincent TROUBLE, musiques, direction d’orchestre
Julo ETIEVANT, lumière
Jean-François MARC, déco
Christian BURLE, costumes
André GALZOT, création son et régie
Jean-Yves PILONE, régie lumière
Dominique GRAND, régie générale
Claire BRISSON, stagiaire scénographie
Elsa REVOL, stagiaire lumière
Natacha COSTECHAREIRE, stagiaire costume
Fanny THOLLOT, stagiaire son
Et les dieux du cirque…
Tout est perdu sauf le bonheur
Spectacle festif, méchant, gai et désespéré.
Dédié à tous ceux que la bonne humeur rendra toujours disponibles,à tout ce qui leur arrive et qui estiment que chercher le bonheur est plus important que tout. (Séraphin)
À l'image et en hommage à Jacques Prévert,
qui a ouvert la voie à ceux qui, comme lui, en leurs temps, racontent leurs époques, les fustigent et les rêvent, y trouvent leur beauté, en pleurent, s'en amusent et en jouent…
Nous tentons de raconter la nôtre, d'époque.
Nous disons nos rêves, nos colères et nos joies.
Avec des mots de Jacques Prévert, d'autres et des nôtres.
Avec nos images.
Et nous nous laissons charmer par les songeries de Marc Chagall qui font emprunter à nos images et à nos lumières les chemins colorés de son absurde onirique.
Nos nez rouges en poche, au coeur ou au milieu de la figure, nous écrivons sur la piste les empreintes grotesques de nos obsessions et de nos quêtes.Nous festoyons et chantons l'amour et son impossible.
Nous chevauchons, délibérément en déséquilibre, sur le fil de notre propos, de notre parole,de notre harangue, irrémédiablement tendu entre désespoir et bonheur.
Il était une fois une jeune troupe, un groupe hétéroclite de jeunes hommes et de jeunes femmes artistes de cirque qui se lancent dans l'aventure d'un spectacle, l'entreprise d'une création artistique, pour la première fois.Et ainsi dans une profession et tout simplement dans une vie…
Chercher leur place dans le monde et leur bonheur…
Ils se lancent avec tout ce qui leur tient à coeur. Comme si c'était leur dernier spectacle.Comme s'il ne fallait rien oublier.Avec leur courage et leur trouille, leurs illusions et leurs larmes, leurs rires et leurs colères.Et leurs espoirs.
Troupe d'équilibristes, ils cherchent l'équilibre d'une troupe, dans un même désir de créer,une même quête d'émotion…
Collectif d'individus ou collection d'individualités, chacun s'investit dans l'ensemble.L'ensemble se profile comme un album d'images qui se mêlent et se détachent.D'artistes de cirque à artistes tout court.
Philippe Car - Mars 07
PHOTOS : Denis Leroy, Laurent Grigord, Nathalie "Tsukiyo" (Junior team)
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