Michel Hindenoch avec sa barbe blanche ressemble à l'image que l'on peut se faire du grand père racontant au coin du feu quelques histoires à ses petits enfants... sauf que ce soir là nous étions plus de 600 à écouter ses contes mais à n'en pas douter nous étions redevenus des enfants. Comme des enfants nous étions bouche bée à boire ses histoires.
Et oui, il y a là une forme de magie a emmener 600 personnes dans son monde, sans éclairage sophistiqué, sans effet pyrotechnique, juste avec la parole et accompagné d'une cithare hongroise et d'une flûte de pan.
La grâce du conteur nous permet de nous investir dans l'histoire, de la vivre, de la ressentir dans une sorte de retour en enfance, une enfance où un il était une fois nous faisait rêver.
Quelques gestes, quelques regards, quelques notes suffisent à appuyer, à illustrer une histoire et l'auditoire de ce samedi soir au festival Spirale à histoires est parti en voyage...
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