Le nouveau projet de David Darricarrère et Léa Colombet était très attendu. Il se nomme Das Kinø.
L’album « The call of a vision » vient de sortir et c’est à l’occasion de la release party que j’ai pu découvrir le projet.
Tout était organisé de façon à nous surprendre.
Tout d’abord, l’appropriation du lieu : Le Ferrailleur a été utilisé d’une façon inhabituelle : deux accès, un de chaque côté du bar, donnant sur la salle. On entre dans le lieu, et là, le groupe n’est pas sur scène mais dans la salle, au milieu de la fosse. Le public se répartit tout autour. Ambiance lumière tamisée, décoration de bon gout, sobre et esthétique.
Là, on se dit, la soirée commence bien …
Nos deux acolytes arrivent et là, autre surprise, ils sont trois. Ils sont ce soir accompagné par un batteur.
Deuxième bonne surprise. Le côté électro appuyé par la batterie, ça me plait.
L’album est très bon avec des morceaux très électro pop comme The Shelter, Wicked Love ou Friendly Yours. Les composition sont léchées, le son est travaillé. On remarque le travail d’équilibre qui a été fait entre les sons électro et les instruments plus acoustiques (guitare, batterie) aussi bien sur l’album qu’en live. Les voix de Léa et David se complètent et s’harmonisent.
Le concert se déroule sans temps mort, avec chaleur, des regards complices, de l’aisance. C’est plaisant, aussi bien visuellement qu’acoustiquement. La proximité avec le public aide à faire de ce concert une moment privilégié, exceptionnel : on ne pouvait pas être plus proche.
Je vous conseille de ne pas louper leurs prochaines dates …
L’album « The call of a vision » vient de sortir et c’est à l’occasion de la release party que j’ai pu découvrir le projet.
Tout était organisé de façon à nous surprendre.
Tout d’abord, l’appropriation du lieu : Le Ferrailleur a été utilisé d’une façon inhabituelle : deux accès, un de chaque côté du bar, donnant sur la salle. On entre dans le lieu, et là, le groupe n’est pas sur scène mais dans la salle, au milieu de la fosse. Le public se répartit tout autour. Ambiance lumière tamisée, décoration de bon gout, sobre et esthétique.
Là, on se dit, la soirée commence bien …
Nos deux acolytes arrivent et là, autre surprise, ils sont trois. Ils sont ce soir accompagné par un batteur.
Deuxième bonne surprise. Le côté électro appuyé par la batterie, ça me plait.
L’album est très bon avec des morceaux très électro pop comme The Shelter, Wicked Love ou Friendly Yours. Les composition sont léchées, le son est travaillé. On remarque le travail d’équilibre qui a été fait entre les sons électro et les instruments plus acoustiques (guitare, batterie) aussi bien sur l’album qu’en live. Les voix de Léa et David se complètent et s’harmonisent.
Le concert se déroule sans temps mort, avec chaleur, des regards complices, de l’aisance. C’est plaisant, aussi bien visuellement qu’acoustiquement. La proximité avec le public aide à faire de ce concert une moment privilégié, exceptionnel : on ne pouvait pas être plus proche.
Je vous conseille de ne pas louper leurs prochaines dates …
Michaël Foucault
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