Je suis certain d'avoir trouvé l'origine de la canicule qui nous a frappé la semaine dernière. eh oui ! si des météorologues se penchent sur le sujet, ils trouveront que tout est parti d'Aix en Othe, charmant village de l'aube, plus précisément ils trouveront que l'origine de ce phénomène a commencé samedi soir !! La soirée de samedi du « Festival en Othe » a sûrement fait monter la température de quelques degrés !!
Le concert d'Yves Jamait, en cette fin de soirée a contribué de manière décisive à cette montée de température mais ça, ce n'est pas nouveau. Yves Jamait est en effet, un vrai artiste de scène qui fait vibrer son public.
Le « Festival en Othe » est un joli festival à taille humaine, organisé au milieu d'un parc, il offre un magnifique écrin aux artistes qui s'y produisent. C'est donc dans le cadre d'un festival d'été que nous avons été revoir l'ami Yves. Après l'avoir vu cet hiver dans le cadre de concert en salle où les spectateurs étaient assis, c'est lors d'un concert debout en plein-air que nous le retrouvons avec une set-list et des intertitres un peu modifiés pour l'occasion mais toujours avec la même énergie et le même charisme.
Bien sur, une bonne partie du public le connaissait et lui était déjà acquis mais une autre l'a découvert lors de ce concert, c'est souvent le cas en festival où le public est plus hétérogène. Public qu'il faut souvent charmer et conquérir !! (La musique est parfois un sport de combat),
Maniant l'humour et l'émotion, Yves Jamait nous a proposé des titres de son dernier album, l'excellent « mon Totem » mais aussi des titres plus anciens. Textes et musiques ciselés abordant des thèmes allant de l'amour à la révolte en passant par l'amitié, textes et musiques qu'Yves Jamait et sa bande de musiciens savent faire vivre et partager.
À une heure où les gens raisonnable dorment, ils étaient nombreux à applaudir, chanter et battre des mains et à voir la mine réjouie des festivaliers et la queue au stand de « merchandising » à l'issue du concert, la mission fut remplie pour Yves Jamait..
Jean Philippe TROTIER
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire